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波长路由光网络中RWA算法的设计分析
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Vue sur Khenifra de Taabit
Khénifra ( ?????? Khnifra, arabe: ??????) est une ville du
central , -La <>, ou <>&#160;; aux couleurs rouge?tres, b?tie sur les deux rives de l' et le dir entre plateau central et Moyen Atlas (
)et la partie ouest du Moyen-Atlas), capitale des , une tribu
appartenant jadis à la confédération des A?t Oumalou&#160;; située dans un axe stratégique à 160&#160;km de , et à 300&#160;km de
dans la . Superficie globale de 41,033&#160;km2 (5,77&#160;% de la surface du Maroc).
L'activité économique de cette région reste dominée par le secteur tertiaire (43,2&#160;%). Le milieu rural y représente près de 76&#160;%. Elle est considérée comme une destination privilégiée du tourisme écologique par la beauté des montagnes aux couleurs rouge?tres, de ses lacs et de sa forêt majestueuse de cèdres.
La construction de la bourgade Khénifra au , n'est pas une co?ncidence mais un atout stratégique vu sa position entre deux p?les urbains, à savoir celui de Meknès (capitale à l'époque) et celui de Marrakech qui représentait un p?le économique rayonnant et un marché prospère.
Perchée à 830 m d’altitude, "(N&#160;: 32? 56.142' - O&#160;: 05? 40.465)" sur les bords du fleuve , dans le couloir encombré de coulées basaltiques qui sépare le Moyen Atlas de la Mesata (Plateau Central Marocain), Khénifra se présente comme une cité rouge, reflet de la couleur des sols argileux qui l’entourent.
Elle est située à l'extrémité ouest du Moyen Atlas, sa position géo- morphologique représente une cuvette entourée de quatre grandes montagnes, Bamoussa à l'ouest, Akllal à l'est, Bouhayyati au nord (Table Zayan) et Jbel Lahdid (ou Bouwazal&#160;: montagne de fer en berbère) au sud. La ville est traversée par le fleuve
ou Oum Erebia. Sa position géographique lui confère une situation stratégique, elle se trouve sur la route principale 24 (axe routier utile pour l'économie de Khénifra) à 170&#160;km de , à 320&#160;km de
et à 138&#160;km de
axe reliant le Moyen et le
oriental facilitant l’accès vers la haute Moulouya d'une part et la porte du Sahara par
et à 262&#160;km de &#160;: axe routier stratégique reliant le
central au bassin d' au niveau de Khénifra (cette rivière est alimentée par oued Srou, Oued Chbouka et Oued Ouaoumana) et la c?te atlantique.
Au Moyen ?ge, la zone de Khénifra constitue un axe caravanier de chameaux entre Fès et Marrakech.
L'origine du nom de Khénifra est interprétée différemment :
Khénifra est la dérivation du verbe
<<&#160;khanfar&#160;>> qui signifie <>, <>, en raison d'un fait historique. ? un moment donné, la ville a été prise de force à la sous
Ait Bouhaddou. Pour manifester leur hégémonie sur la ville, les Zayanis firent de Khénifra une zone de contr?le pour les non-Zayanis. Ils établirent un système pseudo <> pour les transitaires qui furent obligés de payer une taxe. Lors de l'instabilité politique (), les caravanes du Makhzen venant de Marrakech pour Fès sont contraintes de payer une ran?on pour assurer la sécurité du transit.
Selon une autre version anecdotique, l'étymologie proviendrait de l'histoire d'un homme fort qui agressait les passants. Akhanfer est le nom d'une lutte berbère assimilée au
et largement pratiquée dans le Moyen Atlas. Le
désigne le lieu où se déroule le jeu.
Selon une autre version, Khénifra serait un mot composé de Khenig (passage) et Ifra (grotte), c'est-à-dire un passage étroit. Khénifra tire également son nom de sa géomorphologie en raison de son enclavement entre quatre montagnes&#160;: <<&#160;Al Hafra&#160;>>. De la coloration rouge?tre de sa terre, un autre nom lui est attribué, Khnifra AlHamra&#160;: <>.
de cette région est
ce qui influe sur les amplitudes thermiques saisonnières, voire journalières. ? un
rigoureux succède un été très chaud. La
varie selon les régions entre 400 et 700&#160;mm/an en moyenne. Sa localisation enclavée, entourée par des montagnes qui dépassent les 2&#160;000&#160;m, lui confère des hivers froids, la températures annuelle moyenne est de 16&#160;°C baisse jusqu'à -5&#160;°C ainsi que des étés chauds et secs mais sans précipitations.
Les précipitations moyennes les plus faibles sont enregistrées en juillet avec 4 mm seulement. Avec une moyenne de 96 mm, c'est le mois de décembre qui enregistre le plus haut taux de précipitations et varient de 92 mm entre le plus sec et le plus humide des mois.
Au mois de Aout, la température moyenne est de 24.7 °C. Ao?t est de ce fait le mois le plus chaud de l'année. Avec une température moyenne de 8 °C, le mois de Janvier est le plus froid de l'année.Une différence de 16.7 °C existe entre la température la plus basse et la plus élevée sur toute l'année.
Table climatique annuelle
Température(°C)
Précipitations(mm)
La population est en majorité Amazigh , la langue parlée
variante de tamazight parlée au moyen atlas et l'arabe dialectal.
La population est en majorité
de la , la langue parlée est
variante de la langue , un parler du Maroc central. La démographie s'est développée considérablement&#160;: à partir des années 1970, la ville avait encore environ 13&#160;000 habitants. Au recensement de 1994, la population était de 60&#160;835 habitants. Pour le recensement de 2004, Khénifra comptait 72&#160;672 habitants.
L'arabe aussi est une langue bien parlée. La plupart des habitants l'utilisent pour communiquer entre eux à Khénifra, ce qui en fait une ville comme toutes les autres généralement.
Le pont historique dit portugais en 2005
Grand souk de Khénifra
disait&#160;:
"Les montagnes sont mes os,
L'Oum Rabia est ma limite,
La plaine est ma proie"
La région de Khénifra se situe au Moyen Atlas central. Sur le plan stratégique, elle constitue un atout qui permettra de contr?ler la porte de , le (bassin de l') au sud, de
au nord et vers le Haut Atlas oriental, à l'est la
et le ). Malgré la résistance et la ténacité guerrière de la population, les Zayans ont fini par déposer les armes face à la machine de guerre coloniale imposante.
Khénifra a été aussi le thé?tre des opérations militaires menées par le sultan alaouite
le sultan fut vaincu en (). En général, la zone de Khénifra constitue la frontière entre "blad el
et Blad " depuis le temps des Almoravides.
L'histoire de Khénifra prend son origine dans deux monuments historiques, les seuls d'ailleurs existant encore partiellement&#160;:
A/ La casbah de , initialement la casbah d'Oulaidi, l'unique b?timent historique classé au niveau de la cité des Zayanes, cette Kasba constitue le symbole d'une mémoire collective foisonnant d'évènements et d'épopées historiques. B?tie par le sultan
Ibn Tachfin sur le bord de l',en même temps que la casbah d'Adekhsal. Elle fut restaurée en
par le sultan Moulay Ismail.
Une b?tisse d'une telle symbolique est aujourd'hui un souvenir, une partie de l'histoire d'une région et du Maroc notamment dans son volet de la résistance, qui s'écroule.
B/ fameux pont sur l' dit <>, des légendes ont été tissées autour de sa construction&#160;:
Construit à la même époque que la casbah de Khénifra. Historiquement, la présence portugaise n'a jamais été mentionnée dans les manuscrits de l'époque. Ce pont est toujours érigé malgré les intempéries, a finalement succombé suite aux nombreuses crues qu'il a d? subir. Il est vraisemblable que ce pont fut b?ti avec du
(albumine d'oeuf). Selon la tradition orale, un imp?t sur les oeufs fut instauré pour sa réalisation. Des percepteurs étaient chargés de récolter cette redevance auprès des habitants afin de construire ce pont qui permit d'améliorer les échanges commerciaux ainsi que les migrations de
pratiquées dans cette région. La main d'oeuvre aurait été fournie par des esclaves portugais à cette époque en captivité à Meknès, du temps du sultan
où le Maroc contr?lait la flotte de corsaires basée à Salé. Cette flotte le fournissait en esclaves chrétiens et en armement suite à leurs razzias en Méditerranée et jusqu'à la mer du Nord.
Une autre version rapporte que le pont est l’oeuvre de Kassem (père du bibliographe Ahmed ben Kassem Al Mansouri ()), chef de la mhella de Hassan Ier à Khénifra, qui f?t l'aide du camp de Mouha ou Hammou de 1880 à 1914. ? noter que la nomination du pont dit portugais est l’oeuvre de la propagande coloniale, pour démontrer que les berbères ne savent rien faire, mais cette thèse est peu probable vu l’état du pont en délabrement au début du siècle.
C/ La casbah d' ce vieux fort est une pièce de la mosa?que de l'histoire de la région, située à 15&#160;km, au sud de Khenifra, ancienne forteresse édifiée par les Almoravides et reprise ultérieurement comme base opérationnelle par Moulay Ismail, (Arnaud, 1916, p.&#160;79). Non loin du village d'Adekhssal se trouve une ancienne forteresse dite (Kalaa’fazaz) située à d'El Gara à 15 km de Khénifra. Historiquement
est l'ancien nom du Moyen Atlas, aux contours mal définis, c'est une aire géographique difficile d'accès, fief des tribus résistantes à toute incursion étrangère, au cours de l'histoire les Amazighes se considèrent "libres" toujours insoumises et échappent au contr?le du pouvoir du Makhzen. Selon les chroniqueurs marocains cette contrée avait subi un blocus pendant 9 mois notamment à El Gra.
Les constructions furent confiées aux prisonniers portugais détenus à Meknès&#160;: le projet des
s'inscrit dans le cadre de la construction de l'axe stratégique allant de Meknès en passant par , Khénifra,
dans le but d'assurer la sécurité de la route entre la capitale du sud Marrakech et les villes de Fès et Meknès.
Casbah d'Oulaidi, patrimoine défiguré
L'histoire de Khénifra est liée à ces deux monuments classés historiques par le Ministère de la Culture Marocain en tant que patrimoine national casbah de Moha ou Hamou dite d'Oulaidi. La Kasbah de Mouha ou Hammou Zayani et le vieux pont marquent la conscience des Khnifris où le présent et le passé s'entremêlent dans la conscience collective de ses générations.
La découverte en 1996 des vestiges d'une ville nommée El Gara au parages d'Adekhssal à 15 kilomètres de Khénifra, met en question ce qui avait été avancé à propos de cette région centrale du Moyen Atlas.
Soumission de Hasan Amahzoune (fils de Mouha Ou Hammou Zayani), juin 1920, au général Poeymirau
Casbah d'Oul Aidi
Site d’Aguelmane Azegza
Site des Tiguelmamine
Vestiges archéologique d'El Gara, site découvert en 1996.
La ville de Khénifra a été prise par les
(composés de Sénégalais, d'Algériens, Goumis marocains du 1er Régiment de Tirailleurs Marocains recrutés à ) en juin 1914.
Sous le commandement du général Ditte,
celui-ci avait acquis au
une réputation légendaire au cours de la
dans la région de
jusque la plaine de . Charles Mangin est considéré comme un grand stratège militaire qui put éviter l'affrontement directe avec les
avant la soumission des tribus allant de
jusqu'aux confins du territoire des Zayans.
En référence au <<&#160;Journal des marches et opérations de la 2e batterie du 1er Régiment d'Artillerie de Montagne pour la période du 6 septembre 1912 au 16 octobre ;>>, le commandement des forces d'occupation du Maroc était conscient des risques de l'affrontement direct avec les tribus des Zayanes lors de la
. Dans ce rapport, Charles Mangin décrit avec précision les différentes phases de sa campagne.
Mouvement des colonnes marchant sur Khénifra Après la bataille d'Ehri 13 novembre 1914
Trois mois après cet évènement, une contre-attaque aura lieu à , le 13 novembre ;: la , engagée imprudemment par le colonel
à l'assaut du campement du rebelle Mouha ou Hammou, contraint de quitter la kasbah, occupée par les militaires depuis juin 1914 sous le commandement du colonel , commandant du territoire de Khénifra.
On note également les manifestations contre le , promulgué le 16 mai 1930, dont le but était de séparer les berbères des communautés arabes.
Avant l'arrivée des soldats du sultan
en 1877, Khénifra n'était rien d'autre qu'un point de transition de transhumance entre l'Azaghar et le . C'est à partir de là que Khénifra prendra sa dimension de ville. Malheureusement, Khénifra ne s'est pas développée, pendant la , à la hauteur de ses potentialités naturelles (elle fait partie du
dit inutile).
Elle est connue pour sa résistance farouche lors de la , réputée par
(village situé à 20&#160;km de Khénifra) (13 novembre 1914), qui s'est soldée par la victoire des Zayanes et d'autres tribus berbères voisines&#160;:
, A?t Ihnd , même des
et des , pour la première fois unifiées. Cette victoire symbolise la gloire des tribus et le grand prestige que s'est forgé
où la colonne de l'officier
fut quasiment anéantie, mais la riposte coloniale ne tarda pas à se manifester par le déploiement de sa panoplie militaire afin d'isoler les
et restreindre leur aire géographique et les contraindre à se réfugier dans les montagnes. Le blocus des tribus Zayanes se réalisa avec succès, le grenier marocain de Tadla est ensuite mis en sécurité contre les attaques des Zayans.
Après la soumission de la grande partie des chefs de tribu du Moyen Atlas central notamment celle de
d'El Kssiba,
d' et d'autre tribus des plaines, les légionnaires de
sont aux confins de Khénifra.
La Campagne de Khénifra débuta en juin 1914 (juste peu avant la célèbre ) et se termina le 2 juin 1920, par la soumission du Pacha
et la mort de Mouha Ou Hammou le 27 mars 1921 dans une escarmouche menée par les partisans Zayans soumis au profit du général
(), très proche collaborateur du maréchal
et avec la participation du général
qui plus tard deviendra commandant en chef de la région de Meknès de 1924 à 1929 et du général
() et de ()cet officier avait mené les opérations de ratissage à Khénifra mettant ainsi la fin au mouvement de la résitance des Zayans.
ao?t ;: manifestation contre le
soutenu par certains ca?ds ayant à leur tête le (Référence?), et une élite intellectuelle hostiles à l'ethnie berbère (Tendancieux) (grèves, prières pronon?ant le <> en demandant à Dieu de ne pas séparer les berbères de leurs frères arabes… (en quoi est-ce que c'est hostile aux berbères?)). Ce mouvement de protestation lancé par l'élite bourgeoise Fassi (Référence) issue de l'enseignement traditionnel prendra la tête de la résistance jusqu'à l'indépendance en 1956. Cependant, la question amazighe ne cesse d'engendrer des polémiques. Conscient du problème, le roi Hassan II avait proposé dans son discours du 20 ao?t 1994, l'enseignement de la
(le tamazight, le tachelhit et le tarifit). Ce geste marquait le point de départ d'une certaine décongestion politique envers les Amazighs.
20 ao?t ;: la déposition du roi Mohammed V déclenche une vague de mécontentement au sein de la population et ne cesse se s'amplifier pour aboutir à la "révolution de Khénifra".
20 ao?t ;: l'anniversaire de la déposition du roi
déclencha une insurrection à Khénifra (trois journalistes tués), une vague de protestation regagna les villes d', d', et de . ?vénement marqué par une répression massive sur ordre du général
(nommé résident général au Maroc, en pleine crise franco-marocaine de juin 1955 à ao?t 1956), journée sanglante pour la population de Khénifra surtout les tribus
qui encerclèrent la ville, l'ordre du massacre fut ordonné, la ville de
n'a pas été épargnée par l'exaction du tyran
de 1949 à 1955, nommé commandant supérieur des troupes du Maroc, il trouva la mort dans les montagnes de Kasba-Tadla (sur les contreforts de l'Atlas marocain) le 22 ao?t 1955 lors de l'explosion de son avion qu'il pilotait lui-même, Il est déclaré "mort pour la France", par décision ministérielle du 20 septembre 1955. Le bilan est de 700 morts du c?té marocain, 49 morts européens (chiffres que
qualifie de ridicules).
En 1956 le
s'implante massivement au sein de la société Zayane, phénomène sans précédent dans l’histoire politique de Khénifra, le partiil monopolise la vie politique des citoyens Zayans . Après l’éclatement de l'union nationale on assiste à l'émergence de nouveaux partis
et l'Union nationale des forces populaires () (parti de gauche créé le 6 novembre 1959 suite à la scission avec le parti de l'Istiqlal), la crise politique s'accentue et finira par une lutte sanglante pour le pouvoir . ? Khénifra, des incidents ont lieu contre les bureaux des deux nouveaux partis (PDI et [UNFP) qui ont un passé honorable au sein du mouvement nationaliste marocain.Ces événements rentrent dans le cadre de la crise politique marocaine qui remonte à l'aube de l’indépendance du Maroc en 1956.Le parti de l'Istiqlal formé de la bourgeoisie nationale se veut un parti unique .
n’était pas encore connu sur la scène politique, suite à des manipulations politiques le parti populaire vit le jour en , une alternative ayant pour but de faire face au parti de
, Ahedane ne cache pas l'étiquette Amazighe de son parti.
la venue de Mohamed V en 1958, une visite qui devait sceller aux lendemains de l'indépendance, la création des forces 'armées royales marocaines, le 15 mai 1956 (fusion des tabors et goums); Moulay Hassan
devient le chef d'?tat-major avec l'intégration en leurs sein, des éléments de l'Armée de Libération qui avaient accepté les accords d’Aix-Les-Bains.Cet événement avait connu l'ascension des forces vives des imazighen qui se heurta aux ambitions de domination du parti de l'Istiqlal: en était la victime.
;: la population de la ville avait voté en faveur de la première constitution marocaine.
Mars ;: événement de . Action perpétrée par le &#160;:branche radicale du parti l' d'orientation révolutionnaire (), dont l'acteur principal fut
de l'option libyenne du Tanzim, partisan de la lutte armée. Des éléments du groupe s'infiltrent à Khénifra, , et
(Omar Dahkoun, Abdellah Nemri et Ahmed Kheir, Mahmoud Bennouna, Assekour Mohamed, Brahim Tizniti ). Ces agitations ont démontré les contradiction d'orientation politique au sein du parti UNFP.
L'affaire Moulay Bouazza a été l’un des épisodes marquants dans le règne de Hassan II&#160;: le 2 mars 1973, une action suicidaire fut entreprise à Moulay Bouazza, par un groupe constitué de Alaoui, Mohamed Bennouna alias Mahmoud, mort ensuite le 5 mars 1973 lors des combats. les instigateurs du complot voulaient rééditer les événements du Rif en 1959,l’opération commen?a par une attaque de l'annexe de Moulay Bouazza tuant un moukhazni&#160;; cette action fut un fiasco, Brahim Ouchelh, toujours en charge de radio Libye, a écrit un premier texte où il met en cause toute la direction de l' mais ce communiqué ne sera pas diffusé pour des raisons obscures.
La population n'y avait pas pris part. Elle restera néanmoins traumatisée par la
de certaines tribus
et l'arrestation systématique des sympathisants du parti l'UNFP. Après la décrispation du processus politique et dans le cadre de l', le rideau fut levé pour permettre aux victimes de témoigner, mettant fin aux années dites .
Le 17 octobre 2001, le
adressé à la nation par le roi
province de Khénifra, lors de la cérémonie d'apposition du Sceau chérifien scellant le dahir, crée et organise l'Institut royal de la culture . Ce discours a permis de donner de nouvelles impulsions aux défenseurs de la thèse amazighe en tant qu'entité nationale et patrimoine incontournable.
Au début du XXe&#160;siècle, la ville était une petite bourgade. Elle s'est développée autour du pont et de la casbah d'Oulaidi, devenue une conglomération en proie à l’urbanisation sauvage. Le centre commercial de Khénifra évoluait autour de l'ancienne gare routière connue sous le nom de "garage Bakouch" et de la rue d'Oran. Aujourd’hui, elle est devenue une conglomération en proie à un urbanisme anarchique, confrontée à un exode massif en provenance des zones rurales .
Khénifra,quartier PAM
L’extension de Khénifra s'est réalisée à partir du centre prés du pont et de la .
Abdellaoui
Administratif
Ait Haddou N'Hlima
AlMasjid Hassan II
AL Mouhtadoune
Boufoulloussen
Bouymahaguenne
Centre ville
El Massira
Equipement
Errachidia
Fath Miaammi
Hay El Hasan
Industriel
Ingénieurs
Kaid Driss
La Scierie
Lalla Zineb
Mabrouka Ouskar
M'Etchifssane
Mouha Oubouazza
Oued Eddahab
Oum Errabiaa
Sidi Bouknadel
Sidi Boutzouguarth
Tamoumente
Tiaallaline
Tichout Ben Akka
Bus de Khénifra
Malgré les potentialités et les richesses naturelles dont dispose la province de Khénifra sur le plan hydraulique, forestier, minier, touristique .Khénifra est loin de vaincre l'analphabétisme, précarité et l'exclusion, sociale outre le ch?mage, ces facteurs sont dus à l’absence d’une réelle stratégie de développement et d’un véritable plan d’intégration de cette région montagneuse .
Tapis Zayan
Les produits artisanaux sont réalisés de deux manières&#160;: à titre familial ou dans le cadre coopératif. Le tapis Zayan (tazerbyt) représente l’ic?ne de la . Il est à la hauteur des autres tapis de renommée comme le tapis dit Rbati. Le tapis est un objet artistique réalisé dans des familles de grande tradition pastorale et qui vivent en général de l’élevage. Au tapis s’ajoute le hanbel qui constitue la fierté des Amazighes en général&#160;: pièce tissée, plus légère et moins épaisse que le tapis. Il est utilisé comme couverture. La laine est vénérée chez les Zayans depuis des millénaires, la femme amazighe est considérée comme une créatrice douée de facultés artistiques, sensorielles et esthétiques.
Le tapis berbère est l'expression de la créativité de la femme amazigh, il s'agit là d'une symbolique à décrypter qui a fait l'objet de nombreuses recherches comme le cas de Paul Vandenbroeck qui a écrit un ouvrage remarquable sur le tapis "L'art des femmes berbères". Le tapis berbère prend une dimension expressive pour chaque tribu&#160;: on peut donc parler du tapis Zayani, Attaoui, Zemmouri, M'guildi... Les tapis sont incrustés de motifs en laine correspondant à des symboles amazigh avec une dimension esthétique. Le tapis Zayan illustre le savoir-faire des femmes Amazighes.
D'une technicité simple, il se compose d'un champ central, de bandes horizontales irrégulières décorées de motifs crénelés exprimant le féminin, entouré d'un cadre. Les différents tons de rouge sont mêlés à des motifs safran et blanc.
Natte Berbère ou Tahsirt, tapis en feuille de palmier tressé brodé de laine. "Tahsirt"est un mot dérivé de "Hsira" terme arabe désignant la natte. "Ayartil" au masculin, "Tayartilte" au féminin désignent en vrais termes amazigh la natte Berbère.
Parmi les montagnes qui enclavent Khénifra Jbel Bououzzal ou montagne de fer, on y trouve du fer mais sa haute teneur en soufre rend son exploitation impossible d'une part et d'autre part le manque d'infrastructure routière et de moyens d’exploitation et de transport adéquats.
La cédraie de Khénifra occupe une surface de 65.150 hectares, soit 50% de la cédraie nationale et 12% du domaine forestier de la province, représente une richesse inestimable pour la région. La situation de la province au coeur Moyen Atlas, avec une zone de pluviométrie très élevée, qui fait de la province un véritable ch?teau d'eau ,tant du point de vue hydrogéologique qu'au point de vue hydrographique. Les facteurs de pression humains (pastoralisme intensif,déboisement,les braconniers du cèdre) et la sécheresse pourraient conduire à l'extinction du noble arbre le .
Jeunes cèdres de l'Atlas
La région de Khénifra recèle de grandes potentialités forestières diversifiées fauniques et floristiques, notamment la région d' à ne pas confondre avec
située au Rif, cette grande forêt de
fait partie du , la forêt d'Ajdir Izayane abritait jadis le fameux
aujourd'hui éteint.
La région de Khénifra est dotée d'un réseau fluvial important, avec notamment le fleuve
et ses affluents qui est le 2e fleuve marocain en terme de longueur. Il prend sa source à une altitude de 1&#160;240&#160;m dans le Moyen Atlas à 40&#160;km de la ville de Khénifra et à 26&#160;km de la ville de . Au niveau de Khénifra il serpente dans une direction nord-sud dans un lit de rivière étroit à travers la ville, et l'alimente la ville en eau potable.
La région de Khénifra possède tous les atouts d'un lieu touristique de prédilection par les richesses de son
avec des lacs de montagne et sa forêt de cèdre d'. Ce secteur vital n'a pas été développé depuis l’indépendance malgré les potentialités dont dispose la province. L’écotourisme n’est pas pris en compte dans les programmes de développement touristique et le manque d’infrastructures adéquates rend la tache difficile afin de subvenir aux besoins des visiteurs. La promotion du tourisme national en faveur du consommateur marocain n'est pas encore réalisable à court terme.
Tourisme de montagne:
Tourisme écologique ou tourisme vert:
Tourisme rural: se défini comme un tourisme local, voulu et ma?trisé par les gens du pays, un tourisme de rencontre et de partage et comporte: (tourisme de randonnée, activités de pleine nature, visites et animations du patrimoine rural, etc.).
Ces 3 secteurs touristiques contribuent à la protection de l'environnement et apporte des retombées équitables aux populations locales leur permettant d'améliorer leur bien-être.
La périphérie de Khénifra recèle les sites touristiques les plus attractifs du Moyen Atlas notamment les sources de l', le , le , le , l', le , le plan d'eau du
et le plateau d'Ajdir Izayane. Ces sites bénéficient d'un bioclimat de type sub-humide à humide. S'y ajoute un réseau de rivières se jetant dans l'Oum Errabia et ses affluents tel l'oued Chbouka à 36&#160;km de Khénifra, riche en poissons (Black-bass, truite). L' de la région a besoin d'une politique de développement durable sur le moyen et le long terme. La richesse des lacs en poisson permet la création d'amodiations de droit de pêche régies par des arrêtés ministériels où les pêcheurs peuvent pratiquer différentes pêches à savoir&#160;:
Pêche à la truite en rivière (oued Cbouka, Oum Rabiaa).
Pêche à la truite dans les plans d'eau.
Pêche dans les eaux à poissons blancs.
Les principales espèces de poissons et leurs caractéristiques&#160;: Les espèces les plus connues sont&#160;: , , , , , , . Les poissons les plus appréciés par les pêcheurs sont le brochet et la truite. Les rivières présentent d'autres variétés selon les lieux.
L"activité sportive la plus connue était le football&#160;; l'équipe fut créée en 1943 sous le nom:"Union sportive de Khénifra", Puis
"???? ???? ??????" en 1945, en 2014 l'équipe rejoint la première division. La section féminine fut créée le 30 novembre 1998 sous la même appellation . L'infrastructure sportive de Khénifra n'est pas à la hauteur des aspirations de la population, l’état du stade municipale d'une capacité de 3000 spectateurs est lamentable.
Lac Tiguelmamine fait partie du parc national de Khénifra
est un joyau écologique du Moyen Atlas. Il englobe le
(voir Le Soir du 18 juin ) et une partie du Parc national du Haut Atlas oriental.
La fantazia et l'Ahidouss traditions ancestrales enracinés dans la société Zayane et constitue une fierté Amazighe.
Le cheval chez les
représente un symbole rituel, qui s'enracine dans leur tradition guerrière. Cette tradition virtuose est toujours conservée par les tribus marocaines. La place d'Azlou avait connue de grands spectacles équestres.
Les règles à suivre&#160;:
Le dressage des chevaux&#160;: cheval Barbe.
La monture du cheval
La ma?trise du déroulement de la parade dans un encha?nement cohérent
Le respect du tir simultané.
Ces prouesses exigent la possession d'une technique équestre rigoureuse, du courage et de l'habileté.
La tenue du cavalier doit être conforme aux habitudes vestimentaires de la région.
De forme artistique, à caractère collectif, présentée dans un spectacle avec la participation des femmes et des hommes, cette manifestation est répandue dans une large partie du Maroc central avec pour chaque tribu ses spécificités, donc plusieurs variantes du Tafilalet (sud-est) jusqu’à Tifelt (nord-ouest).
Ahidouss est constitué de trois éléments essentiels&#160;:
- le chant
- le rythme
- la danse
Les Amazighs de l'Atlas ont conservé intacts les chants et la musique qui rythment leur vie quotidienne.
En général la gastronomie de Khénifra ne diffère pas de la ,mais elle reste dominée par la
Lycée &#160;:En hommage au grand savant dont le père est originaire de la
,une personnalité marocaine prestigieuse, voyageur et savant de la fin du XVIIIe et du début du XIXe&#160;siècle.
C'est un établissement publique crée le 01/10 1950 en tant que collège, les études prennent fin en Troisième année secondaire (pour l'option&#160;: année générale), après l'obtention du BEPC, les admis auront le choix de continuer soit au lycée Lycée Tarik ibn Zyad(Azrou) ou de s'intégrer dans l'administration .Dans les années 70,il devient lycée qualifiant enseignement général et technique .
L'école des gar?ons d'Azlou et l’école des filles furent les premières après l’indépendance.
L'infrastructure sanitaire de la province de Khénifra est loin de satisfaire les besoins de la population urbaine et rurale. La ville de Khénifra est dotée d'un h?pital provincial qui date depuis la colonisation .Un nouveau établissement sanitaire tant attendu par la population Khnifrie d'une capacité hospitalière de 187 lits n'a pas encore vu le jour. Khénifra dispose de 11 centres de santé urbains .
&#160;: Poète francophone, connu sous le nom du poète de l'autre rive, a publié deux ecueils poètiques
: Poète, chercheur en anthropologie, et activiste Amazighe.En 2001, il est nommé par Dahir Royal membre du Conseil d'Administration de l'IRCAM) (Institut Royal de la Culture Amazighe)et, en même temps, détaché comme chercheur au Centre d'anthropologie du même Institut. Il démissionne en 2005 avec 6 autres membres du Conseil pour protester contre la mauvaise volonté du Gouvernement à appliquer le contenu du discours d'Ajdir et du Dahir instituant l'IRCAM.
: écrivain et activiste Amazighe, connu par son célèbre roman "Conte de l'enfant "Bios" et sa perte entre la sagesse et le rituel". Une oeuvre ou le récit narratif est construit par l'interaction de deux références le réel et l'imaginaire. le réel traite son attitude personnelle du la période de son enfance vécue après l’indépendance du Maroc pour construire son identité fragmentée:Confrontation avec la traditionnelle dans la société Amazighe post-coloniale et l'imaginaire étant son personnage central "Bios" et d'autres personnages marginaux ayant vécu avec lui dans le même village et influencé profondément le cours de sa vie intérieure: le père, grand mère, le noir, le chien Black, Ba kardoune et autres spécimens.(.....)
Al Mansouri&#160;:Natif de Khénifra en 1897,issue d'une famille de militaire envoyés par le sultan Moulay Hassan I au Moyen Atlas pour rétablir l'ordre dans cette zone instable et hors de l'autorité du Makhzen et soutenir le ca?d
une alliance qui avait pour but de combattre la confrérie de Imhaouchens. Il est l'auteur du manuscrit arabe "Histoire de la ville de Khénifra publié en 1937.Ce manuscrit est conservé à la bibliothèque nationale de Rabat sous le no&#160;12037 .Il a aussi un manuscrit intitulé 'Kabaa Al Anbar' où il décrit l'intervention coloniale à Khénifra en 1914 et le combat héro?que des Zayans contre cette intrusion.
? ne pas confondre avec le fameux historien et diplomate
qui est originaire de la ,natif de Fès (1734 - 1833).
Ahidous Zayan
Moha Oulhoucine Achibane:Chef de la fameuse troupe folklorique d'Ahidous, qui consiste en un mélange de danses, de chants et de joutes poétiques.
: chanteur populaire qui avait vibré le moyen atlas et le Maroc avec le fameux instrument dit .
:Né à Khénifra en 1950 d'origine . Comme son ami Rouicha les deux ont été influencé par la nouveau courant musicale des années soixante mené par les musiciens comme Bouzekri Amrane et .
:Née en 1967 à Tazroute Moukhbou (Roche percée) à Khénifra, considérée comme la diva de la chanson Amazighe&#160;; elle chante
genre musicale authentique Amazighe chanté au Moyen-Atlas où l'émotionnel alterne entre sentiment de réjouissance et de souffrance.
Ces deux athlètes appartiennent au club Chabab Atlas Khénifra (section athlétisme).
Les personnalités qui ont marqué l'histoire de Khénifra sont&#160;:
, chef du contingent Zayan, vainqueur dans la bataille d'Elhri le 13/novembre 1914 contre les troupes du colonel Laverdure René Philippe.
fils de Mouha ou Hammou Zayani devint Pacha après sa soumission le 2 juin 1920 au général . Suite à ce revirement vers la collaboration, à l'instar du Pacha de Marrakech . Ces deux Pachas ont joué un r?le important dans le processus de soumission des tribus berbères hostiles à la colonisation. C'est après l'instauration du protectorat, qu'une nouvelle classe de propriétaires terriens comme (le Pacha Hassan à Khénifra 50&#160;000 ha et El Glaoui à Marrakech 150&#160;000 ha) avait vu le jour en guise de récompense à leur collaboration avec les colons, au détriment des populations refusant la soumission, des terrains ont été pris de force aux tribus hostiles à l'ingérence fran?aise.
Caid Amahrok&#160;:Fils de Mouha, était Pacha adjoint du Pacha Hassan, un chef de guerrier incontestable avait combattu les révolutionnaires des Amhaouchens, il se distingua dans la fameuse
où il obtint en 1932 la réédition de Un chef rebelle des Ait Soukhmanes de la haute Moulouya.Le capitaine Amahrok était un grand stratège, meurt en 1939 à Khénifra .
Lieutenant Bouazza&#160;: Fils de Mouha ou Hammou Zayani, de 22 à 29 ans mena une guerre contre le tribu amazighe refusant la soumission, il se distingua contre les
et les amazighes de la haute
ou il trouva la mort le 28 mars 1923 à Aghbala lors d'un combat contre des tribus berbères dissidentes, médaillé de la légion d'honneur.
Miaami ould Moha ou Hammou dit fils de la Fassia, connu pour sa dissidence et contre la colonisation, ses biens lui ont été confisqués par Dahir Chérifien en 1928 .
Hammou N'Hassan fils du pacha Hassan ancien élève du lycée Berbère d'Azrou et de l'école militaire
de Meknès, en 1959 il fut membre de l’état major des F.A.R puis nommé commandant en chef de la gendarmerie royale.
Hammou N'Ben Akka fils du pacha Hassan ancien élève du lycée Berbère d'Azrou et de l'école militaire
de Meknès .Il s'est distingué dans la guerre d' .Promu Général des F.A.R, exécuté evec dix officiers supérieurs en juillet 1971 pour son éventuelle participation au .
Ahmed El Ouardi:( ) ministre chargé des Affaires de la communauté marocaine résidant à l’étranger - 1996 ambassadeur du Maroc en Roumanie.
Othmane Souali, nommé en 2010 gouverneur de la province de
Ou Ali Hajir, lauréat du cycle normal des agents d'autorité, ex de la province de Khenifra (2008), est né en 1947 à El Kebab à 20 km de Khénifra. En 1970, il a été nommé ca?d à
en 1972, puis pacha au centre autonome de Khénifra en 2004 gouverneur de la province de
puis de Khénifra en 2008.En 2005, décoré du Ouissam du tr?ne de l'ordre de chevalier
La princesse Lalla Latifa, née Fatima Amahzoune en 1945 à Khénifra issue de la famille du célèbre ca?d Zayan &#160;;veuve du roi
et la mère de la princesse Lalla Meryem, du roi , de la princesse Lalla Asma, de la princesse Lalla Hasna et du prince Moulay Rachid.
Gare routière
Khénifra -
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Khénifra -
Khénifra-
Khénifra-
Jeunes cèdres de l'Atlas
Ancienne ruelle de Khénifra
Patrimoine de Khénifra délabré
Khénifra place d'Azlou
Fleuve Oum Errabiaa
Casbah de Kenifra
Femme zayane
Carte de Khenifra-Elhri
Fleuve Oum Errabiaa le long de Khénifra
Plateau Ajdir
&#160;: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Arnaud E., “Les Berbères et les dynasties chérifiennes”, Bull, de la Soc. de Géo. du Maroc, no&#160;2, Rabat, 1916 p.&#160;79
Berger.F&#160;: Moha Ouhammou le zayani, éd. Atlas, 1929.
Souvenir de l’épopée Marocaine- Général Théveney Quelques épisodes de la Pacification des Zaians - drame d'El Herri le 13 novembre 1914.
Georges Bernie "La bataille d'El Hri" publié en 1945, ?ditions Gauthey.
Georges Bernie&#160;: "MohaOu Hammou, guerrier berbère" paru en 1945.
Guennoun, S, La montagne berbère, OU LES AIT Oumalou, éd.Oumnia, Rabat, 1933
Guennoun, S, La voix des monts, Moeurs de guerres berbères, éd. Oumnia, Rabat, 1934.
Guillaume, A, (Général), Les berbères marocains et la pacification de l’Atlas Central(
Moha Ouhammou Azayi&#160;: martyr, héros et symbole de la résistance amazighe au Maroc
), Julliard, 1946
La pacification du Maroc / Le Lt-colonel Th. Delay&#160;:?ditions Berger-Levrault (Paris)
Année de publication&#160;: 1952
Jean Delacre, Le Maroc grandeur nature (MEEM)
M. Peyron, <>, Encyclopédie berbère, vol.27 (Edisud 2005), p.&#160;
L’affaire Moulay Bouazza, un exemple de l’utopie révolutionnaire.
"souvenirs de l'épopée marocaine" du général Theveney, paru dans le bulletin de la société géographique d'Alger
. M.Peyron, <>, Encyclopédie berbère
Révolution fran?aise et mouvement national marocain
[Myriam Rovsing-Olsen, Myriam Olsen Chants et danses de l'Atlas]
Khénifra encyclopédie berbère
Salem Chaker
????????? ?????? - ??? ?????? ??????? - ????? ?????Livre rare
[Morsy M., “Comment décrire l’histoire du Maroc”, Acters de Durham, (Recherches sur le Maroc moderne), pub. du Bull. ?co. et Soc. du Maroc, Rabat, 1979, p.&#160;121-143.]Fazaz
?????? ????????? ??????????
La brigade marocaine du 1er au 17 septembre 1914]
Pacification des Zayans: Le drame d'Elhri
Siba, révoltes et révolution
Nouveau découpage régional du Maroc
Les tapis berbères
Les protoberbères - Futura-Sciences
Dialecte des Zayanes et Ait Sgougou 1924 par V Loubignac
Rouicha Mohammed.... mémoire de Khénifra par Hadraj Said
Climat de Khénifra
Héros sans gloire par Mehdi Bennouna
Hero sans gloire, auteur&#160;: Mehdi Bennouna ?diteur&#160;: Paris Méditerranée 2010
Fazaz Jbel M. Peyron:Encyclopédie berbère
Nomination de Mr Othmane Souali
Occupation de Khénifra
Dahir du 26 décembre 1933 portant classement – B.O. no&#160;1114 du 2 mars 1934 - p.&#160;186
Dahir du 26 décembre 1933 portant classement, B.O no&#160;1114 du 2 mars 1934, p.&#160;186
Dahir du 9 avril 1943 portant classement, B.O no&#160;1557 du 28 ao?t 1942, p.&#160;739)&#160;; Arrêté du 29 juillet 1949 portant classement, B.O no&#160;1919 du 5 ao?t 1949, p.&#160;988)&#160;; Arrêté du 28 mars 1950 portant classement, B.O no&#160;1957 du 28 avril 1950, p.&#160;480
Dahir du 9 avril 1943 portant classement, B.O no&#160;1557 du 28 ao?t 1942, p.&#160;739)&#160;; Arrêté du 29 juillet 1949 portant classement, B.O no&#160;1919 du 5 ao?t 1949, p.&#160;988&#160;; Arrêté du 28 mars 1950 portant classement, B.O no&#160;1957 du 28 avril 1950, p.&#160;480
Arrêté du 29 juillet 1949 portant classement, B.O no&#160;1919 du 5 ao?t 1949, p.&#160;988&#160;; Arrêté du 28 mars 1950 portant classement, B.O no&#160;1957 du 28 avril 1950, p.&#160;480
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